vendredi 11 avril 2014

Burn-Out.



Etre infirmière de nuit aux urgences, n'est pas toujours un métier facile... Je savais déjà que je ne ferai pas toute ma carrière dans cet hôpital ni dans ce service. L'envie d'en changer m'avait déjà effleurée et après une courte période de mieux au travail, pendant laquelle j'ai même signé un CDI, me revoilà plus que jamais à réenvisager la question. Oui car comme si le boulot n'était pas suffisamment dur, je peux compter sur mes collègues de travail pour me faire passer des nuits mémorablement horribles. 

Changer de travail n'est donc plus seulement une envie, mais un besoin. 

Plusieurs options s'offrent à moi : 

Option 1 : Je prend mes clics et mes clacs tout de suite. 
Option 2 : J'attend l'été, ce qui m'assure de pouvoir partir en Islande en juin comme je l'avais programmé.
Option 3 : J'attend octobre, soit mes deux ans d'exercice, ce qui me permettrait éventuellement de faire du libéral.
Option 4 : J'attend janvier et une potentielle titularisation pour me faire muter tout en conservant mon CDI.


Le mieux serait que je serre les dents encore jusqu'en janvier, à condition que les harpies avec qui je travaille n'aient pas raison de moi d'ici là. En attendant, je commence à consulter les offres d'emploi, on ne sait jamais ^^

2 commentaires:

  1. Courage, pas évident, mais effectivement, les deux meilleures options sont les deux dernières, grâce à elles, tu assures tes arrières, donc patiente... Pas évident, mais patience....

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  2. plus que 15 jours avant l'air marin, les crêpes, le caramel au beurre salé... le temps d'un repos pour poser sac à terre moussaillonne et se ressourcer
    pas de décision hâtive, la patience est de mise
    bisous ... WAR RAOG

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