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mardi 19 août 2014

Un petit goût de rentrée des classes.



Comme vous le savez, j'ai donc quitté mon travail d'infirmière de nuit aux urgences sur la Côte d'Azur, un mélange de Burn Out et d'Hashimoto réuni dans un cocktail détonnant ne me laissant d'autre choix que de démissionner. 

J'étais même à penser à complètement me réorienter professionnellement, et finalement, à tête reposée, je suis revenue à de meilleures dispositions vis à vis de ma profession d'infirmière. Et puis, aucune envie de me taper encore X années d'études... C'est que je commence à avoir mon horloge biologique qui fait tic tac en me chantant "il est temps de t'installer et de t'acheter un petit nid", projet qui se voit chaque jour repoussé tant que je n'aurai pas trouvé un emploi stable dans une région où je peux entrevoir de m'installer. 

Pour la région je pense que je suis pas mal, reste maintenant à trouver le travail. Aucune envie pour autant de retourner exercer à l'hôpital, je pense plutôt me diriger en maison de retraite ou en centre de soins à domicile, le temps de faire mes derniers mois d'expérience obligatoire en soins généraux avant de me lancer en libéral. Je vais donc envoyer mes premiers CV courant septembre, puisqu'à l'heure actuelle je suis encore en arrêt de travail et ce jusqu'à la fin du mois. J'ai presque l'impression de faire ma rentrée scolaire :D

vendredi 11 avril 2014

Burn-Out.



Etre infirmière de nuit aux urgences, n'est pas toujours un métier facile... Je savais déjà que je ne ferai pas toute ma carrière dans cet hôpital ni dans ce service. L'envie d'en changer m'avait déjà effleurée et après une courte période de mieux au travail, pendant laquelle j'ai même signé un CDI, me revoilà plus que jamais à réenvisager la question. Oui car comme si le boulot n'était pas suffisamment dur, je peux compter sur mes collègues de travail pour me faire passer des nuits mémorablement horribles. 

Changer de travail n'est donc plus seulement une envie, mais un besoin. 

Plusieurs options s'offrent à moi : 

Option 1 : Je prend mes clics et mes clacs tout de suite. 
Option 2 : J'attend l'été, ce qui m'assure de pouvoir partir en Islande en juin comme je l'avais programmé.
Option 3 : J'attend octobre, soit mes deux ans d'exercice, ce qui me permettrait éventuellement de faire du libéral.
Option 4 : J'attend janvier et une potentielle titularisation pour me faire muter tout en conservant mon CDI.


Le mieux serait que je serre les dents encore jusqu'en janvier, à condition que les harpies avec qui je travaille n'aient pas raison de moi d'ici là. En attendant, je commence à consulter les offres d'emploi, on ne sait jamais ^^